La maison des hautures

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La Pêche du Vaccarès

Le 05/11/2015

Parce que le monde entier nous envie ce petit plus qui donne l’accent de notre terroir…

Partager les recettes ou en retrouver le goût des plus anciennes, tel est le but des stages culinaires où la convivialité est de mise.

Le 7 novembre : La Pêche du Vaccarès

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Découverte de la pêche puis rendez-vous au «Cabanon de Jean» au Sambuc où on pourra discuter autour des poissons du Vaccarès (geole, anguille, etc…) et à 11 h 30 préparation et dégustation des poissons.

Intervenant :

Rendez-vous 9 h 30     Lieu : au bord du Vaccarès

La participation aux frais est de 20 € par personne 

Nombre de participants limité à 10 personnes

Sur inscription au Comité des Fêtes 04 90 96 47 00

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Arles et ces monuments

Le 05/11/2015

Arles romaine

La ville d’Arles se trouve dans le sud-est de la France. Les campagnes arlésiennes sont très étendues et représentent la majeure partie du territoire communal. Elles sont organisées en quatre ensembles naturels bien distincts : au nord, la plaine du Trébon et les Alpilles, à l’est, la Crau et au sud, la Camargue dont la commune d’Arles possède la plus grande partie de la superficie (avec les Saintes-Maries-de-la-Mer, deuxième plus vaste commune de France métropolitaine, moitié moins étendue qu’Arles qui s'étend sur 745 km²).

On peut découvrir à Arles plusieurs itinéraires culturels : Arles romaine, Arles, Patrimoine mondial et Arles et Vincent Van Gogh.

Arles, une colonie romaine

Arles a une vocation de carrefour. Ce point de rencontre entre une route terrestre reliant l’Italie à l’Espagne et une voie fluviale, le Rhône, n’avait pas échappé aux Grecs qui dès le début du VIe av. J-C entreprirent de s’implanter en territoire ligure. En 46 av. J-C Jules César, après sa victoire sur Marseille remercia les Arlésiens de leur aide en y fondant unecolonie de droit romain dotée d’un immense territoire. Très vite prospère, la ville s’enrichit de superbes monuments, forum, temples, théâtre, amphithéâtre, cirque, thermes. Ce patrimoine romain et roman est inscrit au patrimoine mondial de l'humanité de l'UNESCO.

Le musée départemental de l’Arles antique

Le Musée d’Arles antique présente l’une des plus riches collections archéologiques de France, allant de la préhistoire à l'Antiquité tardive. Une présentation de type chronologique a été appliquée essentiellement aux périodes pré et post-romaines. Le musée présente notamment le célèbre buste de Jules César, sculpté de son vivant (-46) qui a été retrouvé dans le Rhône. Egalement une copie dans son état initial de la fameuse Vénus d'Arles dont l'original restauré est au Louvre.

Le cirque romain d'Arles

Le plus vaste monument romain d'Arles, le cirque fut édifié au IIe siècle. Il servait essentiellement aux courses de chevaux et de chars, mais aussi parfois à des combats de cavalerie et à des venationes, sorte de chasses à courre. De ses matériaux et décorations, dispersées à la fin de l’Empire, il ne reste que peu de pièces. Certaine ont servi de réemploi, quelques-unes sont exposées au musée départemental Arles antique.

Les cryptoportiques

Les cryptoportiques forment le soubassement, la partie invisible du forum, place publique centrale de la ville romaine. Du forum arlésien proprement dit, on connaît peu de chose. Il ne subsiste de son aménagement et de sa décoration que quelques éléments qui permettent de dater le début des travaux quelques années seulement après la fondation de la colonie, en 46 av. J.-C.

Les thermes de Constantin

Les Thermes de Constantin ont été construits en bordure du Rhône au début du IVe siècle, peut-être sur l’emplacement d’un édifice plus ancien. Expression caractéristique de la civilisation romaine, les thermes étaient un des lieux publics les plus répandus. Leur succès ne commence qu'à la fin de la république et au début de l'empire : les premiers bains publics n'apparaissent à Rome qu'au Ier siècle av. J.-C. et ne se développent vraiment qu'au début de notre ère, avec l'invention des hypocaustes. Edifices inséparables du confort de la vie urbaine à l'époque impériale, les thermes associaient les exercices physiques qui se déroulaient sur la palestre (salle d'entraînement) aux bains assurant l'hygiène corporelle.

Amphithéâtre d'Arles

Les arènes d'Arles sont un amphithéâtre romain construit vers 80/90 ap. J.-C. dans le cadre des extensions flaviennes de la ville. L’amphithéâtre d'Arles est le monument le plus important de l’ancienne colonie romaine qu'il nous est permis d’admirer, quelque deux millénaires après son édification. L'amphithéâtre d'Arles est composé de soixante travées et s'élève sur deux niveaux, l'attique qui les couronnait ayant disparu. A chaque niveau, une galerie circulaire donnait accès aux gradins par des escaliers alternant avec des passages verticaux.

Théâtre antique d'Arles

Le théâtre antique d'Arles a été construit à la fin du Ier siècle av. J.‑C., sous le règne de l'empereur Auguste, juste après la fondation de la colonie romaine. Commencé vers 40/30 av. J.-C., il fut achevé vers l’an 12 av. J.-C. devenant ainsi l'un des premiers théâtres en pierre du monde romain. Le théâtre initial comprenait trois parties : la cavea, espace semi-circulaire recevant les spectateurs, la scène où jouaient les acteurs, et le mur servant à la fois de décor et de fermeture au monument.

Les Alyscamps

Dans l’Antiquité, les cimetières étaient toujours extérieurs à l’enceinte des cités et souvent implantés le long des grands axes routiers. Dès le début de l’Empire Romain, tombes à incinération, sarcophages et mausolées s’égrenèrent aux abords de la Via Aurelia, constituant une vaste nécropole. L’allée des Alyscamps d’Arles qui subsiste aujourd’hui a été aménagée par les religieux Minimes au XVIIIe siècle. En 1888, Vincent Van Gogh et Paul Gauguin vinrent peindre dans ces romantiques «Champs Elysées» d’Arles.

 

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Les alyscamps

Le 05/11/2015

LES ALYSCAMPS

PRÉSENTATION
Dans l’Antiquité, les cimetières étaient toujours extérieurs à l’enceinte des cités et souvent implantés le long des grands axes routiers. Dès le début de l’Empire, tombes à incinération, 

Allée des sarcophages et 
église Saint-Honorat

sarcophages et mausolées s’égrenèrent aux abords de la Via Aurelia, constituant une vaste nécropole. 

Mais, c’est à l’époque paléochrétienne que le cimetière prit une importance majeure avec l’inhumation du martyr saint Genest et la sépulture des premiers évêques d’Arles, abrités dans une chapelle bientôt entourée par un grand nombre de tombes pressées sur plusieurs rangs.

Vers 1040 fut installé un prieuré sous le vocable de Saint-Honorat dépendant de l’abbaye Saint-Victor de Marseille. La nécropole devint une étape obligée du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle et les chansons de Gestes ne manquèrent pas d’y situer les combats de Charlemagne contre les Sarrasins, pour expliquer l’abondance des tombes. Dante immortalisa ce lieu dans son poème « L’enfer ». 

L’allée des Alyscamps qui subsiste aujourd’hui a été aménagée par les religieux Minimes au XVIIIe siècle. En 1888, Van Gogh et Gauguin vinrent peindre dans ces romantiques « Champs Elysées » d’Arles.

 

HISTOIRE

Durant l’Antiquité, le monde des morts était séparé du monde des vivants, et les nécropoles se trouvaient à l’extérieur des remparts. Les enterrements étaient interdits à l’intérieur des 

Urnes cinéraires et urnes balsamaires

villes, mais défunts et mortels se côtoyaient dans les nécropoles pour des libations, repas funèbres ou véritables fêtes, dont l’aspect parfois excessif les fit plus tard interdire par les évêques chrétiens.

Pendant le Haut-Empire, l’incinération était la pratique la plus courante, et les cendres et restes osseux étaient le plus fréquemment recueillis dans une urne cinéraire placée dans un mausolée ou enterrée dans un enclos familial, parfois sous une stèle portant une épitaphe. Sous l’influence, entre autres, du christianisme, l’habitude d’enterrer les corps dans des cercueils ou des sarcophages remplaça progressivement l’incinération qui disparut au IIIe siècle.

Avec celle des Alyscamps, la ville compta jusqu’à cinq nécropoles (au Trébon, au cirque, à Trinquetaille, et au sud de la cité) dont trois étaient encore utilisées durant l’Antiquité tardive. Deux d’entre elles, les Alyscamps et Trinquetaille, durent leur célébrité à partir de la fin du IVe siècle au martyre de Genest, saint arlésien. Puis la réputation du lieu devint si prestigieuse que de nombreuses personnes souhaitaient y être enterrée, à l’instar des évêques d’Arles.

Vers le milieu du XIe siècle, une partie du site fut cédé à la puissante abbaye Saint-Victor de Marseille, qui plaça le sanctuaire sous la protection de saint Honorat, évêque d’Arles entre 426 et 429. C’est le nom de ce dernier qui fut donné à l’église reconstruite au XIIe. A cette époque, la nécropole devint par ailleurs le point de départ du chemin d’Arles vers Saint-Jacques de Compostelle. Ce lieu bénéficia des mythes et légendes qui fleurirent alors, jusqu’à lui conférer une atmosphère d’« héroïque grandeur ».
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Les arénes d'Arles

Le 05/11/2015

AMPHITHÉÂTRE (ARÈNES)

fin Ier siècle apr. J.-C.

PRÉSENTATION
L’amphithéâtre est le monument le plus important de l’ancienne colonie romaine qui nous soit permis d’admirer, quelque deux millénaires après son édification. 

Son architecture est entièrement 

Vue aérienne de l'amphithéâtre

conçue en rapport avec sa vocation de lieu à grands spectacles, accueillant un nombreux public. 

Dans leur élévation initiale, les gradins pouvaient recevoir environ 21 000 spectateurs, dont les flux étaient savamment organisés par un réseau de portes, galeries et escaliers, sur plusieurs étages.

Devenu dès le début du Moyen Âge une véritable ville close et fortifiée, l’édifice ne fut dégagé qu’au XIXe siècle. 

Il retrouva alors, pour partie, sa fonction initiale, notamment avec la tauromachie, ce qui lui vaut sont appellation courante actuelle d’« arènes ».

C’est aujourd’hui le monument de la ville le plus visité, portant ainsi l’image d’Arles dans le monde entier.

 

HISTOIRE
Après la première urbanisation "augustéenne " des dernières décennies du Ier siècle, durant la dynastie flavienne (69-96 après J.-C.), la ville va littéralement éclater et déborder par-delà 

Dessin de François Huard, 1824

le corset désormais trop étroit des remparts initialement élevés sous le principat d'Auguste

Cette expansion est due à une phase de prospérité liée à une intense activité économique, notamment commerciale.

Hormis le quartier de Trinquetaille, c’est sur la rive gauche que les transformations de cette période sont les plus évidentes. 

C'est bien l'amphithéâtre qui domine, au sens propre du terme, la physionomie de la nouvelle cité arlésienne. 

L'ampleur du monument, les contraintes techniques de la topographie (voire un nouveau parti pris urbanistique ?) font que l'amphithéâtre remettra en cause le quadrillage de la voirie originelle, oblique par rapport à cette dernière.

Dès la fin de l'Antiquité, l'édifice a servi de lieu d'habitation avant de devenir l'un des refuges pour la population en des périodes plus troublées. 

Au Moyen Âge la défense a été renforcée par quatre tours. L'amphithéâtre devint alors une véritable petite ville avec rues, place, églises, dont celle de Saint-Michel-de-l'Escale

En 1735, le conseil de ville décide d’interdire la restauration des maisons en ruine à l’intérieur du monument. 

Des initiatives sont alors prises pour libérer l’édifice de cette occupation parasite, mais la physionomie des lieux évolue peu. 

Le XIXe siècle est la grande époque de restauration du monument.
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ARLES et sa place de la republique

Le 05/11/2015

Place de la république:

Véritable coeur de la ville, la place de la république ou ancienne place Royale est le témoin de toutes les époques qui ont marqué l'histoire de la ville: des monuments de l'antiquité au moyen-âge, et des façades où se lie une diversité de styles du XVIIème au XIXème siècles.

Obélisque:

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La grande éguille de pierre, sorte de pivot de la place de la république, provient en fait du cirque romain et date de la fin de l'antiquité. Découvert au XIVème siècle, ce n'est qu'au XVIIème siècle, que l'obélisque renoue avec sa vocation de symbole solaire. Il orne la place de la république depuis 1676, en l'honneur du roi Louis XIV. 

Hôtel de ville:

En plein coeur de la cité, symbole du pouvoir et témon d'une siècle de magnificence, l'hôtel de ville clôt magistralement la perspective de la place de la République. achevé en 1676, après maintes études et un chantier laborieux, il marque le triomphe de l'architecture classique. L'édifice est particulièrement admirable par la richesse de son décor, sculpté en grande partie par l'arlésien Jean Dedieu, et par la voûte en berceaux de son vestibule, audace technique pour l'époque.

 

mousse au chocolat

Le 05/11/2015

Ingrédients

  • 60 g de chocolat noir
  • 1 œufs frais
  • 10 cl de crème fraîche
  • 5 g de sucre
  • Images 16

Instructions

  1. Préparer les ingrédients et les ustensiles nécessaires.
  2. Clarifier les œufs et faire fondre le chocolat au Bain Marie.
  3. Monter les blancs fermes et ajouter le sucre pour les Serrer. Monter la crème fraîche comme une chantilly mais sans sucre, puis mélanger les jaunes au chocolat fondu.
  4. Mélanger un peu de blanc dans le chocolat pour le détendre. Incorporer ensuite délicatement le chocolat aux blancs, en soulevant bien la masse. Une fois le mélange homogène, ajouter la crème fraîche fouetté.
  5. Dresser dans les ramequins. Réserver au frais pendant 2 heures.
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Musée de l'Arles et de la Provence Antique

Le 05/11/2015

PRÉSENTATION
Ouvert en 1995, le musée départemental Arles antique, présente une des plus riches collections archéologiques de France, allant de la Préhistoire à l’Antiquité tardive.

Il est l’héritier 

Vue générale du musée

d’une longue histoire, celle qui a vu, dès le XVIe siècle, Arlésiens éclairés et pouvoirs publics, curieux du passé de la ville et de son patrimoine.

Sa dimension, imposée par l’importance des collections, nécessitait un espace considérable ; c’est la presqu’île du cirque romain, en cours de fouille, qui fut choisie.

Par ailleurs, afin de mettre en valeur les chefs-d’œuvre, l’option retenue fut celle d’une architecture novatrice et fonctionnelle. 

Elle devait permettre d’assurer non seulement une muséographie cohérente et esthétique, mais aussi les autres missions du musée : conservation, restauration, et accueil des publics.

Le projet fut confié par concours à l’architecte Henri Ciriani.

 

HISTOIRE
Dès 1614, les consuls acquirent et exposèrent dans l’hôtel de ville, les principales découvertes archéologiques déjà exhumées. 

En 1651, la L'ancien musée lapidaireà 
l'église Sainte-Anne

 

class="lienbleu">Vénusmise au jour dans le théâtre antique devint le joyau de cette collection… avant d’être «offerte » au bon plaisir du roi Louis XIV.

Par ailleurs, les autorités ecclésiastiques oeuvraient également à la protection des «précieux restes», ainsi les religieuses de la Miséricorde dans la cour de leur couvent, sur le site même du théâtre.

C’est en 1784 que le premier musée archéologique public, proprement dit, fut réalisé par les frères minimes aux Alyscamps. Quelques années plus tard, cependant, la Révolution mit fin à cette brève expérience. 

Il fallut toute l’habilité du premier conservateur des collections arlésiennes, Pierre Véran, pour éviter la dispersion des œuvres qui suivi pillages et destructions. 

Par décret impérial de 1805, l’église Sainte-Anne fut finalement dévolue à l’exposition des antiquités (Musée d'Art païen).

En 1935, face à l’accumulation d’objets, un deuxième lieu fut choisi, l’ancienne chapelle des Jésuites, pour recevoir les collections d’art chrétien.

Dans les années 1970, devant l’impossibilité de présenter correctement des collections en perpétuelle expansion, la décision fut prise d’édifier un nouveau musée archéologique.

 

LOCALISATION

Le musée est situé au nord du quartier de Barriol, sur la presqu’île du cirque romain, entre le fleuve et le canal du Rhône à Port-de-Bouc.

 

DESCRIPTIF
Le programme soumis aux architectes insistait sur les principales missions du musée : conservation et présentation des collections, accroissement et études de celles-ci, et accueil des publics.

 

Un espace d'exposition

henri Ciriani (né en 1936) prit le parti de bâtir un triangle équilatéral évoquant les fonctions tripartites de l’établissement. Les 8 000 m 2 de l’édifice se déclinent en trois espaces aux superficies identiques.

De l’extérieur, le musée apparaît revêtu de couleurs vives. Le « bleu d’Arles » ainsi que les aplats rouges et verts entendent suggérer aux visiteurs les couleurs, depuis longtemps disparues, employées sur les monuments de l’Antiquité.

A l’intérieur, les vastes surfaces d’exposition et la tonalité des éclairages permettent une mise en valeur cohérente (chronologique et thématique) des collections ainsi que de leur matériel didactique, notamment une série de maquettes des monuments romains, restitués dans leur état originel.

La pissaladière aux oignons de Montmeyan

Le 05/11/2015

Ingrédient pour 6 personnes

- 1 pâte à pizza prête à dérouler
- 1 kg d'oignons
-  Anchois à l'huile
-  Olives noires
- 1 cuillère à soupe de sucre en poudre
- Herbes de provence
- Poivre, sel, huile d'olive

Préparation : 30 min
Cuisson : 45 min
Difficulté : facile

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1. Eplucher et couper les oignons en lamelles.

2. Dans une cocotte ou une grande poële faire chauffer de l'huile d'olive. Dès qu'elle "chante" y mettre les oignons, le sel, le poivre, le sucre et les herbes de provence afin de faire caraméliser les oignons.

3. Dérouler la pâte. Huiler la plaque du four ou mettre du papier cuisson, y disposer la pâte. Faire des trous à la fourchette.

4.  Répartir les oignons sur la pâte. Disposer les anchois et les olives.

5. Faire préchauffer le four à 200°C. Enfourner environ 20 min. La pâte doit montée et être dorée. Laisser refroidir.